jeudi 21 juillet 2016

Une page se tourne

   Bonjour, je suis de retour (pour vous jouer un mauvais tour) pour vous faire une annonce particulière. Après plusieurs semaines de réflexion, j'ai décidé de finalement arrêter de poster sur mon blog. Je m'explique, l'envie d'écrire est toujours là, mais l'envie de poster sur le blog ne l'est plus. J'ai envie de changer de plateforme.
   Comprenez bien que cela me fait chaud au cœur de vous annoncer la fin du blog, mais c'est pour le mieux j'en suis convaincue. Ouvrir mon blog a été une agréable expérience. Cela m'a apporté beaucoup de choses positives, que des choses positives pour être exacte. Et c'est avec un pincement au cœur que j'écris mon dernier post sur Unmondehistoire.
   Je remercies bien sûr mes amis qui lisent mon blog depuis le début, qui m'ont encouragé, aidé à m'améliorer et suivi. Je me souviens du début, lorsque je faisais des critiques sur les films et les livres. Puis j'ai commencé à partager mes écrits, choses que je n'avait jamais faite avant.  C'était il y a un long moment... Je suis nostalgique ça y est... Le blog m'a aidé d'une incroyable façon. C'était mon refuge lorsque j'avais quelque chose à dire, lorsque j'étais triste ou heureuse, ce blog m'a accompagné et a pu recevoir toutes mes émotions (et dieu sait que j'ai ressentie beaucoup de chose) pendant 1 an et demi.
   J'ai pris conscience grâce au blog que ce que j'écris peut intéresser les gens, et ça c'est le plus beau cadeau que l'on puisse me faire.

Vous l'aurez compris je ne m'arrête pas d'écrire pour autant, j'ai donc décidé de poster dorénavant mes écrits sur Wattpad.
Qu'est-ce que Wattpad ? → C'est un site où l'on peut lire et/ou écrire des fictions, nouvelles et histoires de tous les genres. Ainsi les auteurs se retrouvent sur ce site et peuvent communiquer plus facilement.

Pourquoi Wattpad ? → Parce que ce site correspond à mes attentes, tout simplement. En postant sur Wattpad je vais pouvoir échanger avec des auteurs débutants comme moi ou bien plus expérimentés. Cela me permettra de toucher un public d'auteurs principalement qui pourront me faire avancer et pourront plus me comprendre. Cette plateforme me permettra de parler plus avec mes lecteurs, ce dont j'ai très envie, plus que tout même. Je veux rentrer dans cette communauté, obtenir l'avis des gens, ce que malheureusement ne m'apporte pas le blog, voilà la raison de ma décision. J'espère que certains ne vont pas être déçus par mon choix. Et que d'autres pourront continuer à me suivre.
   Le blog m'a apporté tout ce qu'il pouvait m'apporter, il est temps de passer à autre chose, quelque chose de plus grand disons. Wattpad est beaucoup plus vivant et très inspirant, c'est ce que je recherche désormais. Cela le blog ne peut me l'offrir.
Avec la fin de mon blog une page se tourne, un chapitre est fini mais le prochain va bientôt commencer, et ce sera sur Wattpad.

   Ma décision a été prise dans le plus grand secret, personne n'est au courant de ce qu'il se passe, c'est la surprise générale ! D'où ma grande appréhension et mon émotion en postant ce texte. A vrai dire j'ai une petite larme qui me coule sur la joue actuellement, parce que c'est toujours difficile de mettre fin à quelque chose d'aussi important. Mais je sais que c'est pour le mieux, et que ça va aller. J'ai l'air pathétique à parler de mon blog comme si c'était mon amoureux ou un truc du genre, mais que voulez-vous, je suis comme ça.

Bon j'arrête l'émotion sinon ça va finir en sanglot, tout ça pour dire que : vous pouvez dès à présent me suivre sur le site où j'ai le pseudo Ninou-Chandra (très original n'est-ce pas) si vous en avez envie et que vous avez un compte (gratuit).
Sachez que je ne vais pas supprimer le blog, (en tout cas pas pour le moment) vous pourrez toujours le consulter si vous le voulez, mais si je le garde c'est surtout pour moi. Je sais qu'à un moment j'aurai besoin de me rappeler des textes que j'ai écrits, j'aurai besoin de me souvenir de ma vulnérabilité et de ma force, et j'aurai besoin de mes propres conseils.

Vous pourrez toujours me retrouver bien évidemment sur Twitter quotidiennement, même si la plupart du temps je dis de la daube.

Voilà j'ai fini mon blabla,

Je ne peux pas finir par vous dire à bientôt comme d'habitude puisque cette fois-ci c'est la fin, il n'y aura pas de bientôt sur mon blog. Je vais juste dire une chose pour terminer :

Merci,
Chandra.

dimanche 26 juin 2016

Bilan

Woah, bonjour/bonsoir, j'ai l'impression que cela fait un moment que je n'ai pas publié ! Tout d'abord j'espère que tout le monde a réussi ses examens et que vous allez passer de bonnes vacances. Moi de mon côté je m'en suis plutôt bien sortie et les vacances vont être disons...mouvementées !

   Aujourd'hui j'ai décidé comme vous avez pu le comprendre grâce au titre de faire le bilan de cette année scolaire.
Ça y est, je suis enfin en vacances, le lycée c'est fini, l'année prochaine sera une nouvelle expérience. Bon que dire de cette année ? C'est passé très très vite. J'ai l'impression que la rentrée c'était il y a deux mois. Je me demande si j'ai assez profiter de cette année, les mois ont défilé comme des jours, et c'est déjà la fin. Beaucoup de stress (à cause du bac), mais surtout beaucoup de bons souvenirs dont je me rappellerai encore dans 10 ans. Avant de continuer, je tenais à remercier toutes les personnes de ma classe qui m'ont supporter pendant 2 ans.
   J'avais aussi envie de partager avec vous, mon récapitulatif de mes années au lycée. Je sais que nous n'avons pas tous la même expérience du lycée, je sais que pour beaucoup le lycée est ce que le collège était pour moi. Et j'en suis désolée, mais j'espère que là où vous irez l'année prochaine (si vous quittez le lycée), sera un bien meilleur endroit où vous pourrez vous épanouir. 
Au lycée j'ai rencontré un tas de gens, tous très différents. Je me suis fait de bons amis. J'ai aussi malheureusement eu droit à des gens du collège qui ont tenter de me pourrir la vie, mais j'ai tenu le coup. Parce qu'en fin de compte il y a plus de personnes qui veulent votre bien que de personnes mal intentionnées. J'ai même bien apprécié mes profs et pour certain, ils vont me manquer je dois l'avouer. Les dames du CDI (dîtes « documentalistes ») elles, ne vont pas me manquer par contre. 
Je n'oublierai jamais mon premier bal lorsque j'étais en seconde. Je n'oublierai pas non plus le dernier celui de cette année (celui de ma première c'était pas génial donc celui-là je risque de l'oublier). Je n'oublierai pas les cours de maths où l'on faisait tout, sauf des maths. Je n'oublierai pas cette fichu pente qu'on devait monter et descendre tous les jours, ni les escaliers (l'avantage maintenant c'est que j'ai des mollets en béton). 
Je ne peux pas oublier que certains événements, certaines rencontres m'ont changé. Et en fin de compte, je prends le tout de manière positive. Les erreurs que j'ai faites, les leçons que j'ai apprises, tout cela m'a fait grandir et je m'en rend compte. J'ai encore beaucoup à apprendre je le sais, mais le lycée et tout ce qu'il s'y est passé m'ont aidé à devenir celle que je suis maintenant. Moins timide, plus ouverte aux gens, plus indulgente avec moi même, mais parce qu'il y a aussi des points négatifs, je suis devenue plus stressée, plus émotionnelle, et plus dure parfois avec ceux qui m'entourent.
J'ai appris à exploiter ma créativité, avec tous les bons conseils de mes proches qui m'ont soutenu même quand je faisais du pâté. Je remercie les personnes qui m'ont dit ce qui allaient et ce qui n'allaient pas. Toutes les personnes à qui j'ai laissé voir ce dont j'étais capable de faire, ce qui m’intéresse.
Je remercie finalement les séries et les films qui m'ont aidé à tenir toute cette année !


Moral du jour : Bon je ne sais pas trop si il y a vraiment une moral de tout ça... Il faut juste que vous profitiez au maximum, travaillez bien en cours, et trouvez-vous un passe-temps pour prendre une pause de temps en temps.

  J'espère que ce journal vous a plu. N'hésitez pas à vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis. Si vous avez envie de dire quelque chose ou me faire partager votre expérience, vous pouvez rejoindre la page Facebook du blog. Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus !    


Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.

samedi 21 mai 2016

Les mots qui blessent

   Bonsoir/bonne nuit, parce que oui il est actuellement 1h du matin au moment où j'écris ce texte. Alors pourquoi 1h du matin me direz-vous ? En fait, j'avais envie de montrer et d'exprimer mon point de vue/réaction à chaud, c'est à dire tel que je le vis à l'instant. Donc non, cela ne pouvait pas attendre demain. Plus tôt dans la soirée, avec le groupe on a performé sur la scène avec il faut l'avouer quelques petits souci technique du genre la guitare qui fait un son curieux et très fort... Toujours est-il que nous avons surmonté ces problèmes. A la fin de notre prestation, je vais voir des amies (et croise 2-3 personnes qui nous félicitent), une des mes amies dit dans le plus grand des calmes et très sérieusement « Tu as chanté faux ». Maintenant que la situation est plantée, je vais à présent vous dire comment j'ai géré le truc...

   Pour moi, ce manque de respect est synonyme de stupidité, une personne qui n'est pas capable de remarquer tout le travail que VOUS avez fourni pour faire quelque chose qui VOUS intéresse ne vous mérite pas. Elle ne mérite même pas de vous regarder.
Il y a des façons de dire les choses, pas de manière directe et brutale sans dire bonjour (comme c'est littéralement le cas pour ce soir). Cette soudaine envie de critiquer qu'éprouvent les gens provient certainement de leur mal-être intérieur. C'est une personne qui n'est pas heureuse, qui n'a pas assez confiance en elle pour faire ce que VOUS pouvez faire, c'est une personne mal dans sa peau et qui ne fait rien pour arranger cela, qui continuera à se voiler la face sur ce qu'elle est jusqu'à la fin de sa vie peut-être et elle provoque son propre malheur. Vous avez simplement à la regarder (ou pas) se détruire elle même.
    Honnêtement je ne pourrais jamais faire une chose pareil, critiquer pour critiquer. Juste dire « tu fais de la merde », je ne pourrais pas, même à quelqu'un que je n'apprécie pas.
On a tout à fait le droit d'exprimer son avis, et je suis pour bien sûr. Mais s'il y a des choses à dire, on explique ces choses, on explique pourquoi on a pas aimé, et ce qu'il faudrait arranger. On ne dit pas « pouf c'est nul » et démerde toi pour savoir ce qui ne va pas. Sauf dans le cas où cette personne pense que rien ne va dans ce cas je vous conseil gentiment de lui dire d'aller se faire embrocher par un âne.
    Comment faire comprendre à cette personne que ses mots peuvent blesser ? Honnêtement je ne sais pas, même avec toute la détermination du monde on ne peut pas obliger les gens à nous respecter après tout.
   Mais en vérité, je pense que si cela m'a tellement bouleversé, c'est parce que de vieux souvenirs sont remontés à la surface. Rien de pire que de mauvais souvenirs qui gâchent une soirée. Pendant 30 minutes je ressentais de la haine en moi. C'est dans ce genre de moment où je souhaite être chez moi, à pleurer, plutôt que de tenter de sourire pour cacher mes sentiments.
   J'ai donc dû endurer toute la soirée ce poids sur ma poitrine, j'avais envie de crier. Pour me calmer en général j'imagine dans ma tête que je casse des tables vers la personne concernée. Ça c'est mon défouloir mais vous pouvez très bien imaginer que vous lui balancer des cailloux ou quelque chose du genre. Pendant toute la soirée ses mots revenaient dans ma tête alors que j'essayais de m'amuser. Ces mots qui blessent sont encore plus vexant lorsqu'ils proviennent d'une prétendue amie. Mais j'ai tenu bon, même si j'ai préféré rentrer avant la fin de la soirée. C'est donc seulement en rentrant à la maison, que j'ai pleuré, dans mon lit, comme avant. Et ça c'est difficile émotionnellement, sentir qu'on est aussi vulnérable qu'il y a 10 ans. C'est comme si je n'avais pas grandi, comme si je n'avais pas appris à me fermer aux gens mauvais, comme si j'étais encore cette petite fille fragile qui ne peut se défendre. Mais ce n'était qu'un moment de faiblesse, je sais que je suis forte, plus forte que j'en ai l'air et ça s'est prouvé plusieurs fois auparavant. Alors je garde la tête haute, je retiens ce qu'il s'est passé, et je ne pardonnerai pas, ça c'est certain.


Moral du jour : Si vous avez confiance en vous c'est l'essentiel, quelqu'un se permet de juger votre travail sans rien y connaître et sans rien apporté d'intéressant (j'entends par là quelque chose qui vous ferait vous améliorer), vous vous en fichez de ce qu'il/elle pense. Vous avez travailler dure, vous avez mis toute votre énergie. Et posez vous la question, comment cette personne qui ose vous manquer de respect aurait fait ? La réponse à cette question est qu'elle se serait plantée royalement. Donc ne la laissé pas vous atteindre sur un sujet qu'elle ne maîtrise pas du tout. Soyez confiant, éclatez-vous et profitez de l'instant. 
Parce que la vraie force c'est de continuer malgré les difficultés.

PS: Je te verrai toujours comme celle qui a gâché une partie de mon bal...

   J'espère que ce journal vous a plu, et qu'il pourra vous aider. N'hésitez pas à vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis. Si vous avez envie de dire quelque chose ou me faire partager votre expérience vous pouvez rejoindre la page Facebook du blog. Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus !    

Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.

dimanche 1 mai 2016

Journal - Blabla

Bonjour les z'amis !
Je voulais prévenir que les épreuves de BAC vont bientôt arriver. Ce qui signifie que je n'aurai pas spécialement le temps de poster quoi que ce soit. Mais pas d'inquiétude, une fois les épreuves terminées, je serai de retour avec une petite surprise dont certains ont déjà eu un avant gout...
Enfin bref, ce journal va être un peu en vrac, je vais dire ce qui me vient sans forcément avoir de sujet particulier.
Sachez que j'ai pas mal de stress en ce moment (enfin, plus que d'habitude disons), beaucoup de choses à s'occuper, à organiser, à penser. Ce qui fait que mon blog est moins une priorité malheureusement. Donc voilà, je vous laisse lire la suite...

   J'avais envie de dédier une partie de ce texte à mes amis que j'aime for. Ceux qui étaient présents à mon anniversaire (et ceux qui n'ont pas pu venir aussi), ceux qui m'ont vu pleurer, ceux qui ont toujours été là. Quoi qu'il se passe, ces personnes resteront dans mon cœur. J'ai rencontré (ou redécouvert) des personnes extraordinaires ces dernières années, des personnes impressionnantes et qui m'ont faites grandir. Ces personnes avec qui j'ai partagé beaucoup de choses, notamment des fous rires, et du bonheur. Alors, à toutes ces personnes, sachez que je tiens énormément à vous, je vous souhaite d'atteindre vos objectifs, d'être heureux et épanouis.
   Je sais que cela peut paraître ridicule, mais sens eux je ne serais probablement pas la même. Si je n'avais pas rencontré Ananouille, je serais toujours cette fille timide qui parle peu; si je n'avais pas rencontré Marine et Amélie (oula Amélie notre rencontre date), je n'aurais pas eu ce partage musical et tous les moments marrants lors de nos répétitions. Il y a beaucoup de gens que j'aimerais citer mais ça prendrait beaucoup trop de lignes. Par conséquent, je souhaite juste leur dire un grand merci pour faire partie de ma vie et un grand bravo pour me supporter au quotidien (parce qu'il faut l'avouer, je suis un peu-beaucoup chiante quand même).
   J'en viens au fait que mes années au lycée vont bientôt se terminer. Je sais que pour certaines personnes le lycée est un lieu de souffrance, mais ce n'est pas mon cas. J'y ai passé de très bons moments et je ferai en sorte de me les rappeler dans 30 ans.
   C'est étrange de se dire qu'une page se tourne vous savez. Tirer un trait sur quelque chose, se dire que c'est fini. Penser qu'il y aura quelque chose de nouveau à la place. Cela peut faire peur d'avancer je pense, c'est l'inconnu. Personnellement j'ai peur, vraiment, mais j'ai aussi hâte de savoir ce qu'il va se passer dans le prochain chapitre de ma vie. 
   Une chose est sûre, mon blog restera encore une chose importante pour moi. J'espère qu'il aide mes lecteurs à y voir plus clair. J'espère que grâce à lui vous vous posez des questions, vous y trouvez des réponses et que vous vous sentez moins seul peut-être. C'est toujours un plaisir lorsque les gens me disent qu'ils ont apprécié une publication. Cela me rend heureuse, tout ça, mon blog, c'est mon travail, c'est ma fierté et j'espère qu'il continuera à apporter beaucoup de monde (woa trop d'émotions dans ce journal).
   Pour finir je souhaite un bon courage à ceux qui passent des examens, vous pouvez y arriver ! Tenez le coup il ne reste qu'un mois et demi, c'est donc le moment de doubler vos efforts et votre travail ! Et pensez à vous reposer durant les vacances d'été !
En tout cas, je reviens bientôt avec mon nouveau projet en cours d'écriture qui va être plutôt différent, vous allez voir.

   J'espère que ce journal vous a plu, même si j'ai l'impression d'avoir parlé pour rien dire. N'hésitez pas à vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis. Si vous avez envie de dire quelque chose ou me faire partager votre expérience vous pouvez rejoindre la page Facebook du blog. Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus ! 


Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.

mercredi 20 avril 2016

Journal - L'échec

   Bonjour tout le monde ! Aujourd'hui j'ai eu le résultat de mon concours et...ce n'était pas positif. Ma première réaction a été de pleurer (car oui je suis une grande pleureuse de compétition). Je n'ai pas pleuré car j'étais triste. A vrai dire je savais qu'il y avait des chances que je ne soit pas admissible pour la suite de l'épreuve. Vous savez avec les cours et tout le reste c'était assez probable. Ce qui m'a fait pleurer c'est la pression qui est redescendue tout d'un coup. Tout le travail que j'avais fourni pour ces épreuves, tout le temps que j'avais passé, c'était fini. Je savais le résultat de mon travail et il n'y avait plus de stress à avoir. Dans ma tête bien sûr j'ai pensé aux gens autour de moi qui avaient été nombreux à me dire que je n'avais pas de souci à me faire, que j'aurais le concours. J'ai pensé à tout ces gens que j'allais décevoir. Comment leur annoncer à tous que leurs espoirs étaient faux...
Mais au final ce n'est pas ça le plus important. Une fois calmée et remise de mes émotions, j'ai réfléchi, je me suis dis que ce n'était pas grave, c'était juste un test pour moi après tout. L'important c'est le bac, mes objectifs de cette année et non ceux de l'année prochaine. L'important c'est que je sais maintenant où je vais faire mes études plus tard.
   Je me dis que mon temps de révision n'a pas été inutile bien sûr. Ce sera déjà ça de fait pour l'année prochaine. Je me dis que c'est pour le mieux, si je n'ai pas eu le concours cette année je me dis que c'est parce qu'il m'attend quelque chose d'encore mieux pour la suite. Une sorte de destin mais pas vraiment dans la superstition. Je me dis que c'est une expérience comme une autre. Et qu'en aucun cas je devrais en avoir peur ou honte. J'apprends une leçon de cet échec. Ce n'est que partie remise pour moi. Je sais que je ferai mieux la prochaine fois, je sais que j'y arriverai.
   Finalement cela me motive au lieu de me démoraliser. Alors voilà mon conseil, quoi qu'il se passe, battez-vous pour ce que vous voulez. Si vous échouez cette fois-ci, ce n'est pas la fin du monde, vous tenterez une nouvelle fois bientôt. Et vous essaierez jusqu'à atteindre la réussite,votre réussite. Ne laissez pas les autres entrer dans votre objectif. Ils disent que vous n'y arriverez pas, bossez encore plus et prouvez leur qu'ils ont tort. Ils sont persuadés que vous y arriverez tant mieux mais ne vous sentez pas coupable si vous ne réussissez pas ce coup-ci.

   Morale du jour : Je ne vais pas faire dans l'orignal mais vous savez ce qu'on dit, quand on tombe du cheval on doit se remettre en scelle ! Courage à tout ceux qui passent des examens, croyez en vos capacités et donnez vous les moyens d'atteindre vos objectifs.


   J'espère que ce journal vous a plu, c'était à cœur ouvert comme vous avez pu le voir. N'hésitez pas à vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis. Si vous avez envie de dire quelque chose ou me faire partager votre expérience vous pouvez rejoindre la page Facebook du blog. Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus ! 

Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra, très émue ce soir.

lundi 28 mars 2016

Journal - Gérer le stress


   Bonjour, la semaine dernière j'ai passé un concours dont j'espère avoir un résultat favorable et comme vous vous en doutez, j'ai beaucoup stressé. En tant que grande stressée de la vie que je suis je devais absolument vous faire un texte sur comment gérer le stress au mieux. Il faut savoir que je suis quelqu'un qui stress pour tout, pour aller en cours, pour aller voir des amis, pour les concours et pour le bac (évidemment). Vous savez cette sensation de douleur au ventre plus ou moins intensifiée lorsque vous vous levez le matin d'un événement particulier. Ou bien vos mains qui tremblent, votre cœur qui peut sortir à tout moment de votre poitrine. Depuis m'a naissance le stress fait parti de mon quotidien, j'ai pu trouver des astuces qui fonctionnent pour me soulager un peu de ce poids pas facile à porter.
   Bon vous allez me prendre pour une mamie mais la veille d'une journée assez stressante, le soir avant de m'endormir, je prends une petite camomille, ça m'aide à me calmer en fait. Le jour J, au moment où je passe mon examens, je suis du genre à positiver. C'est ce qu'il faut faire, ne vous dîtes pas je vais le rater, non. Répétez vous autant de fois que nécessaire : « tout va bien se passer ». Et je vous jure que ça marche, je le fais à chaque fois et à chaque fois je ne panique pas. J'ai un petit rituel aussi 1h avant mon événement stressant, j'écoute une musique que j'ai choisi exprès pour les jours de stress. Je ne l'écoute seulement ces jours-ci (pour ceux qui veulent savoir c'est Who Says de S.Gomez, parce que je la trouve positive et encourageante).
   Une fois l'examen passé et réussi -ou pas- on se sent toujours mieux, cependant, parfois nous sentons encore ce poids. Parfois nous avons juste besoin de se changer les idées. Après une accumulation de stress, notre corps et notre esprit ressentent la nécessité d'avoir une pause. Une vraie pause. Je ne parle pas d'une pause où vous restez chez vous à rien faire (ou à regarder des séries pour ma part). Je parle d'une pause où au contraire vous partez de chez vous, sortez ! Que ce soit avec votre famille ou vos amis, tant que ce sont des personnes qui vous feront passer un bon moment, des personnes que vous aimez. Vous pouvez très bien partir un week-end chez vos grands-parents, à la montagne, ou bien cela peut-être juste une journée spa, à la patinoire, au karting etc...
En bref, tout ce que vous voulez du moment que cela change vos habitudes et vos idées.

Morale du jour : Prenez le temps de profiter de vie, ne faites pas que travailler, pensez aussi à vous aérer l'esprit ! C'est normal de stresser mais dîtes vous que le stress n'est qu'éphémère, et vous êtes plus fort que vous ne le pensez !

Chacun à des symptômes différents pour le stress, dîtes moi quels sont les vôtres !


   Voilà c'est tout pour le journal de cette semaine, j'espère que ça vous a plu, si c'est le cas je vous conseille de vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis (je suis très active en ce moment). N'oubliez pas que depuis la semaine dernière j'ai crée la page Facebook du blog, donc aimez et commentez ! Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus ! 

Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.

samedi 5 mars 2016

Journal - Savoir se remettre en question

Hellow ! Petite introduction avant de commencer ce journal ! Je sais que je n'ai pas du tout posté de journal ou de chapitre pendant les deux dernières semaines (j'ai seulement posté le texte sur l'anniversaire du blog). La raison est que pendant mes vacances j'ai dû m'occuper des choses sérieuses. Je n'étais donc pas vraiment d'une humeur créative ces derniers temps. J'ai tellement été occupée que je n'ai pas rattrapé mon retard au niveau des séries (bon certes j'en ai commencé d'autres..). Enfin bref, du coup le texte qui va suivre date un peu, je l'ai écrit il y a un moment. Au moment où je l'ai écrit j'étais plus dans l'humeur de parler de cela disons. Donc j'arrête de parler pour rien et je vous laisse lire la suite !

   En tant qu'adolescent ou juste être humain, on doit faire face à certaines situations compliquées. Je vais prendre comme exemple une dispute avec quelqu'un. Cette personne peut être proche de vous, je parle d'une vraie amitié ou bien quelqu'un de votre famille. Cela peut aussi être une personne avec laquelle vous êtes moins proche mais que vous voyez souvent dans le cadre du lycée. Dans les deux cas, cette dispute reste importante (à un certain degré selon les gens). Même si vous dites que vous vous en fichez, c'est juste un mensonge à vous même car malgré votre caractère cela vous affectera forcément. Une dispute grave [je ne parle pas des petites taquineries ou boudage (ça je connais bien)], n'est pas à prendre à la légère. Vous ne pouvez pas vous dire « ça va passer tout seul ». Non ça ne passera pas tout seul ! Dans le cas d'une dispute, on peut décomposer cette dernière en différentes étapes. Notez bien voici un cours sur la réconciliation suite à une dispute !
   Tout d'abord, après la dispute, il vaut mieux s'isoler de cette personne et surtout ne pas parler de la dispute avec d'autres gens car ça risquerait d'empirer les choses vous savez bien. Cela ne sert à rien de continuer à vous battre verbalement (ou bien physiquement mais chacun ses trucs hein). Donc isolez vous dès que vous pouvez, attendez de vous « refroidir » avant de dire ou faire quelque chose que vous pourriez regretter. Une fois calmé, pensez à ce qu'il vient de se passer, réfléchissez à ce qu'il s'est dit, à ce que vous avez reproché et à ce que l'on vous a reproché. C'est donc là le sujet du jour, il faut savoir se remettre en question.
   Pour une dispute il faut être deux (c'est dans étymologie), à moins que vous vous disputiez avec vous même dans ce cas je vous conseille d'aller voir un spécialiste de la schizophrénie. Chacun est donc en partie responsable. Vous devez apprendre à vous poser les bonnes questions, en quoi ai-je eu tort ? Qu'est-ce que j'aurais dû faire ? Qu'est-ce que mon ami(e) ressent ? Si vous et l'autre personne vous remettez en question, le conflit sera compris, fini et ne reviendra sans doute plus. Ne vous braquez pas, soyez ouvert d'esprit afin de comprendre vos erreurs et surtout mettez-vous à la place de l'autre.
   Une fois que ce gros travail sur vous même est fait, il ne reste plus qu'à parler calmement avec la personne concernée. Dîtes lui ce que vous pensez et ce que vous voulez. De la même manière, il faut l'écouter et essayer de comprendre ce qu'elle a à vous dire. Et voilà le problème est pratiquement résolu, rajoutez un peu de sel et mettez au four à 180°C pendant 15 minutes.

Morale du jour : Si vous voulez mutuellement que les choses s'arrangent, faites en sorte que cela s'arrange.


Voilà c'est tout pour le journal de cette semaine, j'espère que ça vous a plu, si c'est le cas je vous conseille de vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau texte est posté. D'ici là n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis (je suis très active en ce moment). N'oubliez pas que depuis la semaine dernière j'ai crée la page Facebook du blog, donc aimez et commentez ! Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus ! 

Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.

lundi 22 février 2016

Anniversaire du blog




   Hellow ! Ce texte est un post spécial, en ce jour spécial qui est...l'anniversaire du blog ! Eh oui, ce blog a 1 an aujourd'hui et je tenais à marquer le coup avec quelques trucs. Tout d'abord j'annonce dès maintenant la création de la page Facebook du blog que vous pouvez retrouver ici. Cela fait un petit moment que je pensais ouvrir une page sans jamais oser. Mais je me suis dit que l'anniversaire du blog était une bonne occasion, de plus j'ai été aidé par mon amie Cellule que je remercie évidemment. Je pense que ça peut être un moyen d'ouvrir un peu plus le blog aux gens et cela sera plus facile je pense pour vous d'exprimer vos avis, du coup n'hésitez pas à aimer la page et à partager au maximum (mais je pense que vous savez faire) !!
   Bon maintenant que cette annonce à été faite on va passer sur un moment un peu plus émouvant je dirais... J'avais envie de parler de ce que je ressens au sujet de mon blog pour que les gens comprennent pourquoi j'ai un blog, ce qu'il m'apporte et ce qu'il peut vous apporter à vous. Par où commencer... Il y a un an les choses dans ma vie étaient complètement différentes. Elles n'étaient pas meilleures ou pires, juste différentes. Il y a un an j'ai voulu commencer le blog parce que j'aime écrire. Cela me fait du bien, ça me libère d'un poids en quelque sorte.
   L'écriture ça a toujours été mon truc, je me rappelle quand j'étais en primaire, je savais à peine écrire que je tentais déjà d'écrire des chansons et des poèmes (bon à 6 ans, ce n'était pas de la grande poésie bien sûr). Malheureusement j'avais eu la mauvaise habitude de montrer mes écrits à mes camarades qui ne voyaient pas cela d'un bon œil. Par conséquent j'ai ralenti mon flux d'écriture (en ne les montrant plus), jusqu'à arrêter d'écrire complètement à la fin du primaire. Une fois entrée au collège je pensais que mon envie d'écrire était tout simplement passée. Mais c'est en faisant face aux différents problèmes que peut rencontrer une jeune adolescente, que je me suis rendue compte que j'avais besoin de m'exprimer. C'est donc à ce moment là que j'ai commencé à écrire des textes un peu plus « sérieux » sur ce que je ressentais, cela se faisait sous forme de chanson ou bien sous forme de petit texte de la même manière que je fais sur mon blog avec la rubrique « mon journal ». Sauf qu'à ce moment là je ne me rendais pas compte à quel point cela m'aider. Je ne me rendais pas compte à quel point il était nécessaire pour moi d'écrire.  
    En arrivant au lycée, j'ai enfin rencontré des personnes gentilles qui m'ont aidé à développer ma créativité et m'ont soutenu. C'est donc l'année dernière, le 22 février 2015 que j'ai décidé de créer mon blog. A ce moment là je n'avais pas de problème particulier, tout allait bien dans ma vie. Mais je sentais qu'il me manquer quelque chose, j'avais envie d'avoir un projet personnel et quoi qu'il se passe, serait là. J'avais besoin de quelque chose qui ne changerait pas. Et me voilà, un an plus tard, en un an j'ai grandi mentalement (ce qui me connaissent savent que niveau taille je suis toujours haute comme trois pommes). Je me rends compte maintenant que je vois les choses différemment qu'il y a un an.
    Écrire me permet d'exprimer et par la même occasion de comprendre ce que je ressens. J'en apprends toujours plus sur moi même en écrivant et en mettant les choses au clair sur mon petit ordinateur. Les histoires que j'invente permettent de m'évader, d'aller dans un monde qui n'est pas le notre. Un monde où je peux faire ce que je veux, revenir en arrière si mes actes ne vont pas ou bien rencontrer autant de gens que je le souhaite, un monde d'histoire tout simplement (héhé).  
   Lorsque j'écris sur des livres, films ou séries je suis tout aussi heureuse car j'aime parler de ce qui me plaît, comme tout le monde je suppose. Et j'aime aussi lorsque mes amis viennent me dire qu'eux aussi ont aimé ce livre ou ce film pour telle ou telle raison. La création de mon blog a permis donc à mes proches qui connaissent l’existence du blog de mieux me connaître par la même occasion.
   Enfin, la rubrique « Mon journal » est la plus bénéfique j'ai l'impression, elle m'apporte la paix en quelque sorte. Vous savez lorsque quelque chose me chagrine ou que je remarque un truc, je ressens le besoin d'en parler. Et comme je n'aime pas forcément embêter mes amis à leur raconter des trucs qui peuvent paraître inutiles, je les dis ici. Au moins ici, je n'embête personne, si vous voulez lire et bien lisez. Cette partie de mes écrits est la plus libératrice car je peux dire ce que je pense sans craindre d'être juger.
   Maintenant je sais à quel point je suis aidée grâce à mon blog, j'ai envie d'aider les gens. Toi cher visiteur du blog, tu devrais lire les textes précédents et me dire ce que tu en penses. Dîtes moi de quelle manière je pourrais m'améliorer et ce qui vous plaît. A tous, partagez le blog, partagez avec moi vos expériences et vos ressentis. Si vous vous sentez seul(e), moi je suis toujours là quand quelqu'un a besoin d'aide, donc n'hésitez pas.

Voilà c'est déjà la fin de cet texte spécial anniversaire du blog ! J'espère que ça vous a plu et que vous n'avez pas trouvé cela trop « chiant » ou intéressant.

Merci d'avoir lu, courage à ceux qui ont repris les cours aujourd'hui et à bientôt,

Chandra.
  

mardi 16 février 2016

Journal - S'ouvrir aux autres


   Dans la continuité du journal précédent, j'avais envie cette fois de parler de mon présent, de l'après rupture. C'était à dire, lorsque nous sommes « guéris », que tout va bien, que nos sentiments n'existent plus. A ce moment là, il est peut-être temps de passer à autre chose et de commencer une nouvelle histoire, vous ne pensez-pas ? Surtout ne vous dîtes pas que vous resterez seul(e) toute votre vie. Au contraire, vous allez rencontrer des gens, beaucoup de gens. Vous allez apprendre à les connaître, puis les apprécier.
   Vous avez vécu quelque chose, mais c'est fini, alors décidez vous même de passer au prochain chapitre de votre vie. C'est inévitable, après la rupture il faut se dire que ce qui arrivera sera encore mieux. Je sais bien que je suis toujours (trop) optimiste, mais c'est ma manière à moi d'avancer. Lorsque je me suis séparée de l'homme de cro-magnon, je savais déjà à ce moment là que c'était pour le mieux. Je me disais qu'il allait m'arriver de bonnes choses. C'est ce qui m'a permis en quelque sorte de rester à la surface (ça et aussi ma cellule toujours présente). Et j'avais raison, je suis heureuse actuellement, je ne peux rien demander de plus, je me sens bien et je suis une bonne personne (cf journal 1 – Avoir confiance en soi). A vrai dire, je ne me suis jamais sentie aussi bien. Ma famille, mes amis, les cours, tout se passe bien, sans oublier évidemment mon blog qui me tient à cœur (mais ça je vous en parlerai prochainement dans une post spécial).
   Enfin bref, en plus de tout cela, ma vie disons « amoureuse » se déroule plutôt bien. Je ne peux pas expliquer davantage et en détail mais sachez que je ne me prends pas la tête et que ça me va. Je laisse les choses se faire, je suis moi même et tout se passe pour le mieux.
   Je sais bien qu'à un moment je souffrirai, mais il faut prendre des risques, j'ai envie de vivre tout ce que je peux, même si ça se termine mal et même si je pleure à nouveau. Je sais que j'arriverai toujours à trouver le positif dans tout ce que je rencontrerai. Vous pouvez y arriver aussi. Je ne sais pas ce qui m'attends mais au final, c'est ça qui est bien. Je n'ai pas peur. Et vous, avez-vous peur ?


   Morale du jour : Lorsque vous serez prêts à vous ouvrir à quelqu'un, allez-y petit à petit, ne vous précipitez pas, soyez vous-même. Prenez confiance en vous, et ne pensez plus au passé, mais gardez quand même en mémoire ce que vous avez appris de vos erreurs. Entourez-vous des personnes que vous aimez et qui vous rendent heureux.


    Ce petit texte est terminé. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce que j'ai écris. Vous pouvez aussi me parler de vos expériences personnelles sur Twitter, je répondrai avec joie.

 Petite précision personnelle: je n'ai pas pu poster la semaine dernière en raison de ma semaine de bac blanc qui se déroulait dans mon lycée. Mais pas d'inquiétude je suis de retour !


Merci d'avoir lu et à bientôt,

Chandra.

mardi 2 février 2016

Journal - Gérer les ruptures


   Il n'y a pas longtemps, quelques-unes de mes amies ont dû se séparer d'une personne chère à leur cœur. Etre en couple à notre âge c'est étrange dans le sens où on ne peut pas vraiment définir ce qu'on ressent lorsqu'on n'a pas de quoi comparer. Mais on aime malgré tout, on s'attache à une personne, on se met ensemble, on construit des souvenirs ensemble, des moments heureux qui resteront toujours dans notre mémoire. Et lorsque ça se finit, ces moments heureux sont déchirants, ils ne font que rappeler ce qu'on a eut autre fois. Ils nous font souffrir, par conséquent c'est dans notre nature de tenter d'oublier ces moments après une rupture. On ne pense qu'aux mauvais jours, ceux où l'on a pleuré, ceux où cette personne nous a déçu, on pense aux disputes. On ne voit plus que les choses négatives de la relation. C'est normal au départ et chacun le vit différemment bien sûr. Mais on parvient tous à se dire qu'au final qu'on le veuille ou non ce que l'on a vécu est à mémoriser. Les mauvais comme les bons souvenirs resteront.
    Comme je le disais chacun perçoit la rupture différemment, la mienne m'a fait me rendre compte de certaines choses. J'ai découvert que j'étais plus forte que ce que je ne le pensais. J'ai découvert que je suis bien plus heureuse sans lui. Et pour cause, je n'ai jamais vraiment étais heureuse avec lui.
   Tandis qu'au contraire, pour l'une de mes amies, il est difficile d'accepter la rupture. Cela peut arriver parfois, elle tente de se dire que tout n'est pas fini, qu'il y a encore de l'espoir. Et c'est bien possible qu'il y en ait. Les émotions peuvent troubler les décisions prises. Dans ce cas, pourquoi s'infliger de la douleur. Si on est heureux ensemble et si on s'aime, si tout se passe bien, pourquoi décider d'enlever tout cela. Un couple qui se sépare c'est normal, mais un couple qui a encore envie d'exister mais qui n'est plus, c'est triste et dommage. Il faut profiter de l'instant, profiter de ce que vous avez tant que vous l'avez et avant que cela ne s'en aille pour de bon. Les conditions de la vie et de l’inattendu peuvent vous faire douter de ce qui est bien ou pas pour vous, je le comprends tout à fait. Mais pourquoi vouloir être seule et triste si on peut être à deux et heureux. Bien sûr, ce genre de relation est une exception, bien souvent quand deux personnes se séparent c'est quelles ne s'entendent plus vraiment. Mais je vous le dis quand même, si vous tenez à une personne, et qu'elle tient à vous, faites ce que vous pouvez pour rester ensemble.
   Dans les cas plus général, parfois quand le bonheur n'est plus là, ce n'est pas la peine d'insister
Je sais que c'est difficile de penser à tous ces moments communs, on attache chaque petite chose à un Evénement et lorsqu'on passe devant ce restaurant, qu'on voit ce film à la télé, ou bien qu'on voit cet objet, on repense à la personne avec qui nous étions.
   Dans mon cas, le bonheur n'a jamais été là et j'ai juste était aveugle et stupide m'accrochant à ce que je n'aurais jamais de sa part, il ne sera jamais heureux parce qu'on font de lui il est blessé, il ne peut pas l'être et il n'essaie même pas de l'être. Alors pourquoi s'attendre à ce qu'il rende quelqu'un heureux. Pour être honnête, j'ai été plus triste de ma bêtise et de mon entêtement que de la rupture en elle même.
   Les histoires d'amour ne sont pas toujours faîtes pour durer, mais elles sont toutes faîtes pour profiter de ce que l'autre peut nous apporter. Elles nous font grandir, on apprends de nos erreurs, et d'une certaine façon je pense qu'elles nous préparent à quelque chose de plus grand et de mieux.
Ne vous méprenez pas, je ne crois pas au prince charmant, mais je suis d'avis que chaque personne trouvera un jour ou l'autre la personne qui lui permettra d'être heureuse jusqu'à la fin des temps (et ils eurent beaucoup d'enfants).

Morale du jour : Une rupture ça peut faire mal mais il faut relativiser et se dire que la douleur va passer et que quelqu'un de bien arrivera dans votre vie (à moins qu'elle fasse déjà partie de votre vie?).

A mes amis récemment célibataires si vous passez par là : quoi qu'il se passe vous êtes fortes et vous arriverez à remonter la pente.

    Ce petit texte est terminé. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce que j'ai écris. Vous pouvez aussi me parler de vos expériences personnelles sur Twitter, je répondrai avec joie.

Merci d'avoir lu et à bientôt,

Chandra.

lundi 25 janvier 2016

Journal - Réfléchir avant de parler

   
Aujourd'hui j'hésitais un peu à vous parler de quelque chose qui me paraît pourtant important. Cela peut paraître étrange mais j'ai pour habitude de classer les personnes. Pas immédiatement après les avoir rencontré, mais après quelques temps passé à les côtoyer. Il y a les gens plutôt gentils et généreux, ceux qui sont nés pour faire chier, ceux qui n'ont pas eu de chance dès le début et qui ont un creux pour toujours dans le cœur, ceux qui sont égoïste, et pleins d'autres catégorie (j'en ferai peut-être un texte rien que sur ce sujet). Bon, honnêtement pour certaines personnes il n'y a pas besoin de beaucoup pour se rendre compte de qui ils sont. Mais le sujet d'aujourd'hui n'est pas sur ces personnes. Je voulais vous parler des personnes ni gentilles ni méchantes, le genre de personne qu'il m'est difficile de classer. En général ces personnes ont un bon fond et ne veulent pas de mal. Mais il arrive parfois que ces personnes changent suivant les gens avec qui elles sont. Par conséquent, des fois ces personnes disent des choses blessantes. Et elle ne se rendent pas compte que cela peut nous blesser. « C'est juste pour rire ! », oui rire c'est super mais insister à longueur de journée sur un truc blessant à la longue c'est plus drôle, ni pour la personne concernée ni pour les autres. Alors pourquoi continuer ? C'est ce que je me demande, et je n'ai pas de réponse. Alors à toutes ces personnes qui je le sais ont un bon fond, réfléchissez un petit peu avant de faire des réflexions insistantes qui peuvent faire plus de mal qu'autre chose.
Pour mon cas, la(les) personnes en question s'amusent à balancer à tout va mon « échec » (qui n'en est pas vraiment un, je tenais à préciser). Même si pour moi ce n'est pas un échec, en entendre parler à longueur de journée ça n'est pas très plaisant, et ça ne fait pas rire. Mais que voulez-vous, je prends sur moi (cf Journal – Prendre sur soi). Au final je me demande ce qui est le pire, que la personne insiste, ou que les sbires qui lui servent d'amis en rigolent bêtement comme si elles étaient au courant, comme si elles avaient des leçons à me donner.
Avez-vous déjà ressenti cette sensation au cœur lorsque quelqu'un vous fait de la peine par de simples paroles ? Moi je la ressens à chaque fois qu'on évoque quelque chose dont je ne suis pas fière mais qui n'est pourtant rien, pas grand chose, qui n'est pas capital, et surtout qui ne me définit pas. Une erreur ne représente pas une personne, ce que j'ai fait (ou plutôt dans mon cas : n'ai pas fait) ne veut rien dire. On ne peut pas rester pendant 50 ans sur un truc complètement stupide qui ne concerne même pas les personnes qui m'en parlent. C'est peut-être ça le pire en fait, que ces personnes s'en mêlent alors qu'elles ne devraient pas, alors qu'elles n'ont rien à y dire.


Morale du jour : Si quelqu'un vous reproche des choses qui ne le concerne pas, ignorez si vous le pouvez. Puis surtout, vous n'avez rien à prouver aux autres, seuls vos objectifs comptent.

    Ce petit texte est terminé. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce que j'ai écris. Vous pouvez aussi me parler de vos expériences personnelles sur Twitter, je répondrai avec joie.

Merci d'avoir lu et à bientôt,


Chandra.

mardi 19 janvier 2016

Chapitre 7 : Isolement



   Deux mois c'étaient passés depuis la braquage à la banque, depuis que j'avais découvert que Thomas travaillait pour une société de protection. Deux mois où je m'efforçais de continuer à vivre normalement, mais les cauchemars me hantaient chaque soir. Toutes les nuits ou presque je revoyais la scène où le braqueur pointait son pistolet contre ma tête. Dans la petite ville où j'habite, le journal avait publié plusieurs articles durant la semaine qui suivait le braquage. Les auteurs disaient que « les forces de police sont vite arrivées sur les lieux afin de mettre en sécurité les otages » et « on remercie la police pour leur métier dur au quotidien, ils risquent leur vie pour les nôtres ». C'était plutôt étrange, bien sûr les policiers ont beaucoup de courage, mais là dans ce cas ils ne sont pas responsables de notre sauvetage. C'était Thomas et ses collègues qui étaient intervenus en premier.
   Étais-je la seule à avoir remarqué que les personnes habillées en noir n'étaient pas des policiers ?
J'essayais de vivre normalement, comme s'il ne s'était rien passé mais je n'y arrivais pas. J'avais un vide en moi depuis ce jour là. Et les questions sans réponse de Thomas ne m'aider pas vraiment à aller mieux. Mes parents eux, essayaient de m'aider. Je n'avais jamais vu ma mère autant aux petits soins avec moi. Quand à mon père, il m'apportait le café le matin pour me réveiller m'amener au lycée, puis venait me chercher tous les soirs.
   Je ne voulais plus aller à mon cours de dessin du mercredi. J'avais tenté d'y aller la première semaine après le fameux jour mais en arrivant les gens me posaient des tas des questions sur ce qu'il s'était passé. Des questions banales du genre « As-tu eu peur ? » ou bien « Est-ce que tu as pleuré ? ». Mais d'autres dépassaient largement les limites comme : « L'article du journal disait qu'un femme à été blessé par balle, tu as vu le sang gicler et dégouliner ? ». C'était insupportable, je ne savais pas quoi faire, m'enfuir en courant ou bien ignorer comme s'ils n' existaient pas. Même Léonie, une fille qui ne parle pourtant jamais à personne voulait tout savoir. Je ne souhaitais pas en parler et surtout pas à eux, mais ils n'arrivaient pas à le comprendre. J'avais à peine pu expliquer à Léa ce que je ressentais. Elle avait compris, elle savait que ça me mettait mal à l'aise. Elle n'a donc pas insisté la seule fois où je lui en ai parlé.
   C'était donc ça mon quotidien, je sentais le regard des gens se poser sur moi. Les enfants qui chuchotaient « elle était dans la banque » quand je passais devant eux. Ils m'avaient tous vu à la télé locale ou sur le journal. Après l'incident du cours de dessin je n'ai donc plus voulu y retourner. Ma vie se limitait à aller en cours, faire mes devoirs, manger et dormir.
   Avec tout ça, j'en avait presque oublié que c'était les fêtes de fin d'année, nous étions en vacances, je pourrais profiter de ma famille et des papillotes tous les jours et tout ce qu'entraînent les fêtes, notamment les repas interminables. Parlons de mon réveillon du nouvel an. Je l'ai fêté avec mes parents, à la maison. On a mangé des crêpes sarrasins puis regardé un film en attendant minuit avant d'aller dormir. On m'avait bien proposé quelques fêtes mais plus le temps passait, plus j'avais du mal à être avec les autres. Pour Halloween Léa avait tellement insisté pour que je vienne que je n'avais pas pu refuser. Mais cette fois, elle savait que je ne viendrais pas. Elle m'a avoué qu'elle préférait que je sois chez moi tranquille plutôt que dans une fête où je connaîtrais seulement trois personnes et que je m'y sente mal à l'aise.
   Je n'avais pas eu de nouvelles de Thomas depuis le jour du braquage. J'attendais qu'il m'envoie un message mais peut-être n'osait-il pas ? Ou bien peut-être qu'il était trop occupé, je ne sais pas. J'avais perdu toute confiance en moi et aux gens, je voulais m'isoler. Au lycée je faisais semblant que tout allé bien, je souriais par automatisme mais je n'avais qu'une envie : revenir à la maison.
   La veille de la rentrée, après avoir bouclé tous mes devoirs, je décidai d'envoyer un message à Thomas : « Hey, on devrait se voir bientôt. » Il me répondit très vite : « Oui tu as raison on devrait se voir, tu me manques. » Je lui répondis aussitôt : « RDV samedi à 14H chez moi, au programme, la trilogie Spider-man et des pop-corn au caramel ». Je souhaitais que la semaine passe vite pour pour le voir, il me manquait aussi. Avant on s'envoyer des messages pour prendre des nouvelles malgré le fait qu'il soit en « voyage » mais désormais, après ce qu'il s'est passé, j'ai l'impression que nous sommes des étrangers l'un pour l'autre. Il y avait encore tant de choses que je voudrais lui demander, je voudrais comprendre ce qu'il fait vraiment. Il n'y a plus qu'à patienter...

Quelques mots sur le chapitre :

Voilà (enfin) le chapitre 7 !  Il est écrit depuis un moment en vérité mais je ne trouvais pas le temps de vérifier s'il me plaisait. Oui, parce que je ne publie pas si le texte n'est pas à 100% validé par moi-même et ma correctrice (pour les fautes). Enfin bref, dans ce chapitre il ne se passe pas grand chose, pas d'action, rien que du blabla comme vous avez pu lire. Mais disons que parfois un pause pour parler est nécessaire pour comprendre ce que ressentent les personnages et faire le point sur les événements.

Les questions sur le chapitre :

- A votre avis, est-ce que Thomas va vouloir s'ouvrir à Arina ?

- Comment vous vous sentiriez si vous aviez vécu ce braquage à sa place ?

- Va-t-elle réussir à surmonter son traumatisme ?


En tout cas j'espère que ça vous a plu, si c'est le cas je vous conseille de vous abonner à la Newsletter (c'est totalement gratuit) pour savoir dès qu'un nouveau chapitre est posté. Le prochain sera posté la semaine prochaine. D'ici là prenez patience et n'hésitez pas à me parler sur Twitter pour me donner votre avis (je suis très active en ce moment). Pour plus d'informations regardez juste à droite, et enfin pour voir les articles précédents faites tout simplement défiler la page ou regardez dans les onglets ci-dessus ! 
Merci à ma correctrice: Amélie ! 
Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.


mardi 12 janvier 2016

Journal - Prendre sur soi


   J'ai remarqué que le « texte spécial » de l'autre fois a plus à beaucoup de personnes (plus que ce que je n'attendais à vrai dire). Par conséquent j'avais envie de refaire un texte dans le même genre. J'ai envie de continuer à faire ce type de post où je peux m'exprimer vraiment, moi-même je veux dire. Cela fera une sorte de journal avec des publications hebdomadaires je pense. Je pourrais parler honnêtement des petites choses de la vie qui font que ça va ou pas, donner mes petites astuces. Ecrire m'a toujours beaucoup aidé, alors pourquoi pas aider des personnes grâce à mes écrits ? Dîtes moi votre avis, et bonne lecture.

   Aujourd'hui j'ai dû faire quelque chose que je n'avais pas du tout envie de faire. Autant je suis capable de manger n'importe quel aliment (sauf les choux de Bruxelles là c'est vraiment pas possible), je suis capable de faire mes devoirs à temps (à l'avance en fait), et je suis capable de faire le ménage sans presque jamais râler. Tout cela n'est pas pour vendre mes mérites, j'en viens au sujet principal pas d'inquiétude.
   Il se trouve qu'en cours de sport les classes sont mélangées. Ma classe se retrouve donc avec une autre filière. En ce moment on fait du badminton. Petite précision tout d'abord : ce n'est pas du tout mon sport d’excellence, loin de là. Donc déjà quand j'y vais je suis pas trop motivée. Mais en plus dans l'autre filière dont je parlais il y a une personne que j'ai tout particulièrement pas envie de voir. Je fais tout ce que je peux pour l'éviter au lycée (vraiment tout) mais on dirait qu'elle fait exprès de me suivre et d'être là à chaque fois que je me retourne. Comme pour dire : « regarde moi j'existe ! ». Je vous parlerais peut-être un jour du pourquoi je ne l'apprécie pas. En attendant sachez que j'ai de bonnes raisons de ne pas vouloir voir sa tête de mérou/lotte comme dit mon amie (coucou Cellules si tu passes pas là c'est pour toi).
   Enfin bref, j'ai malheureusement dû jouer contre elle pour un match. Bon alors déjà que j'aime pas vraiment ce sport, si en plus je dois jouer contre elle, vous imaginez bien que ma motivation était de -4000. C'était le plus long set de toute ma vie. Je voulais juste que ça se termine, je faisais donc exprès de rater le volant, je le laissais passer devant moi à chaque fois. Mais même en n'ayant marqué qu'un point sur 12 le match passait très lentement. Alors vous vous demander pourquoi je n'ai pas joué normalement ? Je n'en avais pas envie, rien que de voir sa tête je ne pouvais pas. Vous savez je ne déteste personne, même pas elle. Au contraire je suis du genre à penser que le monde est tout beau et tout gentil. C'est justement le problème, je pensais que cette personne était gentille. Au final il s'est avéré qu'elle est immorale et sans aucune valeur (ni intelligence je crois), de plus d'après ses actes elle doit être un peu psychopathe sur les bords. Enfin bref, le mal est fait, j'ai eu de la peine mais c'est comme ça. Je n'ai qu'à la supporter tout simplement.
   C'est là où je voulais en venir. J'avais envie de vous parler (comme c'est indiqué dans le titre) du fait de prendre sur soi. C'est en discutant avec une amie qu'elle m'a fait me rendre compte que j'avais du mérite à gérer aussi bien les choses d'une manière générale, par seulement pour ça. Je ne sais pas si on peut vraiment parler de mérite, mais en tout cas ce que je supporte d'autres auraient du mal à le supporter. Alors la question est comment je fais ? La petite astuce arrive : je me dis en fait que ces personnes ou ces problèmes un jour partiront, un jour je n'aurai plus à les supporter, un jour je vivrai autre part loin d'eux. Et ces personnes où seront-elles ? Eh bien si l'on part de mon principe qui est « la vie venge tout », ces gens n'arriveront jamais à faire grand chose de leur vie, ils n'arriveront jamais à être heureux. Et ce sera tant pis pour eux. On n'est jamais sûr du futur, mais ce que je sais c'est que personnellement je ferai tout ce que je peux pour atteindre mes objectives. Tandis que ces personnes finiront par être seules à force de faire des sales coups. Et si elles ne sont pas seules, elles seront avec des gens comme elles, tristes et sans intérêt (et psychopathes !!).
   Voilà mon petit secret pour tenir le coup, pour supporter certaines choses, pour prendre sur soi.

   Morale du jour : La plupart du temps ça ne sert à rien de s'enerver, au contraire ça fait plaisir à vos « adversaires » je crois bien. Souriez et montrez que vous en avez rien à faire et que vous allez bien.

    Ce petit texte est terminé. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce que j'ai écris. Etes vous d'accord ou non ? Vous pouvez aussi me parler de vos expériences personnelles sur Twitter, je répondrai avec joie.

Merci d'avoir lu et à bientôt,


Chandra.

mardi 5 janvier 2016

Journal - Avoir confiance en soi


Bonjour ou bonsoir, bonne année et bonne santé à tout le monde tout d'abord. J'espère que vous avez passé de bonne vacances ainsi qu'un bon réveillon avec vos proches.
Parlons peu parlons bien, on m'a conseillé pour cette année de continuer à développer ma créativité. J'ai hésité à publier le texte qui va suivre mais aujourd'hui j'avais envie de partager ce que je ressens. C'est donc un post spécial, j'ai le besoin de mettre certains faits à l'écrit pour pouvoir mieux les comprendre et au final apprendre de mes erreurs et de celles des autres. Peut-être que cela deviendra une nouvelle rubrique hebdomadaire si ça vous dit. Je vous préviens par contre que ce qui va suivre va être beaucoup moins « littéraire » que l'histoire, ce sont les mots qui me viennent comme ça, ce texte c'est vraiment moi qui vous parle, soyez indulgent... J'espère que ça sera intéressant, et là plus que jamais je tiens à savoir ce que vous en pensez, si ça vous a aidé ou si vous aimeriez partager vos ressentis également.
Sur ce merci d'avoir lu l'introduction et bonne lecture !

   Aujourd'hui, il s'est passé quelque chose qui m'a beaucoup énervé. Je ne peux pas vous expliquer tout mais je peux vous dire que l'irrespect est quelque chose que j'ai du mal à gérer et à digérer. Lorsque des personnes font intentionnellement du mal à quelqu'un, j'appelle ça du foutage de gueule.
Mais ces personnes irrespectueuses souffrent de l'intérieur en réalité. Ces gens là se sentent mal dans leur peau, ils savent qu'ils font des choses méchantes juste pour être méchant. Ils veulent inconsciemment ou pas que les autres partagent leur mal être. Je m'adresse maintenant à ces personnes qui font souffrir des gens qui n'ont rien demandé, réfléchissez avant d'agir, demandez vous si ce que vous faîtes est la bonne chose à faire.
   On m'a clairement manqué de respect cette après-midi (dans les actes pas dans les mots), en y réfléchissant je me suis dis : moi aussi je pourrais faire un truc du genre. Moi aussi je pourrais être méchante et faire du mal intentionnellement. Mais ce n'est tout simplement pas moi, ce n'est pas la personne que je suis. Je ne veux pas faire du mal aux gens, même si eux me font du mal. A quoi cela m'avancerait-il de rétorquer ? A quoi cela m'avancerait-il d'avoir fait souffrir quelqu'un. La satisfaction d'avoir fermé leur gueule à ces gens ? Ce n'est rien comparé aux remords de les avoir blessé. Si moi aussi j'étais irrespectueuse envers ses personnes je ne pourrais pas me dire que je suis une bonne personne. Je préfère garder les choses pour moi, m'énerver mais ne pas faire de scandale dans la rue. Pour me défouler je cris dans ma maison quand il n'y a personne. Cela peut paraître étrange mais c'est ma manière à moi d'extérioriser. Je suis comme ça, je ne dis rien aux personnes concernées, je ne leur montre pas que ça me touche.
   Bon je vais vous parler maintenant d'un truc que je fais de temps en temps et qui m'aide beaucoup dans ce genre de moment où je me sens mal. Je sais que cela peut paraître stupide mais faîtes moi confiance, essayez juste. Levez vous et dîtes à voix haute «Je suis une bonne personne ». N'ayez pas honte ! Cela vous permettra d'avoir plus confiance en vous. Quand je doute de moi ou de la bêtise humaine, c'est ce que je me dis. Grâce à cela au fil du temps je suis devenue plus sûre de moi, ça m'a vraiment beaucoup aidé.

   En ce qui me concerne, je sais que je suis une bonne personne, je sais que je travaille bien en cours, je sais que je peux exprimer ma créativité grâce à mon blog, je sais que j'aime ce que je fais, je sais que j'ai ma famille et des amis proches formidables, je sais que la vie c'est des hauts et des bas mais je sais que je suis forte, et que tout peut s'arranger.
   A votre tour désormais de dire à voix haute ou bien d'écrire si vous préférez vos qualités, écrivez ce dont vous êtes fière, ce dont vous êtes capable, juste quelques trucs positifs qui vous feront du bien.
[A faire cependant avec modération, faites attention à ce que vos chevilles n'enflent pas.]

Morale du jour : vous vous en foutez complètement des gens qui veulent vous atteindre, ils sont plus à plaindre que vous ne l'êtes.
Et comme je dis toujours: la vie venge tout !

Voili voilou, mon petit texte est terminé. Envoyez moi vos qualités comme j'ai fait précédemment si vous le souhaitez et dîtes moi ce que vous pensez de ce que j'ai écris. Etes vous d'accord ou non ? Est-ce que je devrais faire souvent des textes de ce genre ? Vous pouvez aussi me parler de vos expériences personnelles sur Twitter, je répondrai avec joie.

Merci d'avoir lu et à bientôt,
Chandra.